Covid-19 : de nouveaux allégements le 14 mars

Vous êtes nombreux à (re)venir au Prieuré Saint Thomas …

La présentation du « pass vaccinal » et le port du masque ne seront plus exigés à partir du 14 mars prochain. À l’exception de quelques situations.

Sur le terrain, la situation sanitaire s’améliore nettement depuis plusieurs semaines. En particulier, la pression pesant sur les hôpitaux.Les modélisations scientifiques ne prévoient pas d’infléchissement de cette trajectoire favorable dans les prochaines semaines.Pour le Gouvernement, ces deux indicateurs permettent d’envisager de nouvelles mesures d’allègement. Deux évolutions interviendront le 14 mars 2022.

Fin du « pass vaccinal »…

dans l’ensemble des lieux (restaurants, bars, discothèques, cinémas, théâtres, salles de spectacle, stades, foires et salons, transports interrégionaux…) où il est aujourd’hui requis.
En outre-mer, des concertations seront engagées ces prochains jours avec les autorités locales pour statuer sur les modalités à retenir pour la suspension du « pass vaccinal » en fonction de l’évolution de la situation sanitaire dans chacun des territoires.

En revanche, le « pass sanitaire » restera en revanche en vigueur à l’entrée des hôpitaux, des maisons de retraite et des établissements pour personnes handicapées, afin de protéger les plus fragiles de nos concitoyens alors que le virus continue de circuler.

Rappel : le « pass sanitaire » consiste en la présentation d’une preuve vaccinale, d’un test négatif ou d’un certificat de rétablissement.

Fin du masque obligatoire…

… dans tous les lieux, sauf dans les transports collectifs (bus, métro, avion, train) et les établissements de santé dans lesquels il restera exigé jusqu’à nouvel ordre. Le ministre de l’Éducation nationale apportera les précisions nécessaires sur ces évolutions en milieu scolaire, à l’occasion des réunions qui se tiendront la semaine prochaine avec les syndicats et représentants des parents d’élèves.

Le port du masque reste toutefois recommandé pour les personnes positives et cas contacts à risque, les personnes symptomatiques et les professionnels de santé.